Il s'appelle Noé. Mais ils l'appellent « l'homme samouraï». Le genre de gars qui reste debout quand tous les autres sont à terre. Pas de discours. Pas de prières. Un homme taillé dans le silence. Celui que l'on ressent avant de le voir. Un regard qui vous transperce. Un corps bâti pour encaisser les coups. Et pourtant, il tient bon. Il vit seul. Dort en morceaux. Attend - sans savoir pourquoi - jusqu'à ce que le passé frappe à la porte. Jusqu'à ce que le passé frappe à la porte. Et quelqu'un lui montre une photo. Eva. Attachée. Elle respire encore. Mais pour combien de temps ? Alors il se lève. Pas pour courir. Pour replonger. Pas pour la justice. Pas pour la rédemption. Pour elle. Et pour les autres. Il y en a des dizaines. Des centaines. Enfermés. Vendus. Brisées. Un réseau de trafiquants géré comme une entreprise propre. Et Noah, avec ses poings, ses cicatrices, son silence, est la dernière chose qui les sépare du massacre. Samurai Man n'est pas un roman d'action. C'est une blessure. Un cri coincé dans la gorge. C'est un homme et une femme, tous deux détruits par la vie, qui continuent à marcher. Pas parce qu'ils y croient. Parce qu'il n'y a plus rien d'autre. Michel Tessier nous livre un roman coup de poing. Brut. Sensuel. Tendu comme un muscle qu'on ne relâche jamais. Il écrit comme on allume la dernière cigarette à 4 heures du matin, celle qu'on n'aurait pas dû, mais qu'on a attendue toute la nuit. Quelque part entre le silence des soldats et la rage des femmes qui ne veulent pas être effacées, Samurai Man est une histoire d'amour dans une zone de guerre. Une histoire de guerre dans un lit froid. Une histoire vraie. Jusqu'à l'os. Ce roman est fait pour vous si vous aimez les livres qui frappent avant d'expliquer, Traduit avec DeepL.com (version gratuite)